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La problématique que nous posons ici étant comment retrouver la croissance et le plein-emploi comme celle et celui que les économies et les sociétés du monde ont connus pendant la période dite des trente glorieuses (1949-1974), il est judicieux de chercher à savoir comment changer de régime de croissance pour sortir d’une crise à la fois financière, économique et sociale. Il nous faut nous inspirer de cette période tout en tenant compte du contexte actuel afin d’innover pour retrouver une croissance durable.

 

Pour qu’il y ait croissance économique, ce qui est la condition majeure du progrès social, il faut le plus possible d’harmonie entre l’évolution de l’offre et l’évolution de la demande.

 

Si l’on part donc du principe qu’une économie prospère repose sur une corrélation harmonieuse et positive entre l’offre et la demande, l’offre rencontrant une demande de préférence forte, il nous faut donc ne pas buter sur le manque de demande. Nous pensons alors qu’une action urgente est nécessaire selon les préconisations suivantes : 

 

  1. Il nous faut absolument reconnecter investissement et emploi (ceci est possible grâce au nouveau concept d’Investissement que nous développons) ensuite, reconnecter productivité et salaire (et ce, en redistribuant le pouvoir d’achat soit par une augmentation des salaires soit en constituant un fond de réserve pour la reconversion des salariés). 
     

  2. Il nous faut parvenir à changer la gouvernance des entreprises de manière à ce que les choix ne soient plus uniquement guidés par les marchés boursiers, mais prennent en compte les intérêts des salariés, des territoires et des sociétés. (Ce changement de gouvernance pourrait devenir possible grâce à la pratique de nouveaux concepts d’Investissement que nous développons). 
     

  3. Il faut favoriser, en règle générale, l’émergence d’une nouvelle forme de régulation afin d’aider les décideurs politiques, économiques et financiers à mieux préparer l’avenir. (Cette nouvelle forme de régulation se mettra en place en adaptant l’arsenal juridique, les politiques industrielles, les politiques économiques, les politiques financières et en préparant l’opinion publique aux principes et nouveaux concepts d’investissement que nous développons.).
     

  4. Il faut élaborer de nouvelles formes d’ingénierie financière (en encourageant l’Investissement par le biais des nouveaux concepts que nous développons  et non plus en actions constituant les parts du capital d’une société qui sont des actions dites boursières) ; ces formes d’ingénierie financière d’un nouveau genre permettant  l’apport de fonds nouveaux dans l’entreprise tout en préservant le contrôle de l’entreprise concernée. 
     

  5. Et enfin, plus largement, il nous faut redéfinir la notion même de capital.(Le capital pourrait par exemple inclure les forces vives de l’entreprise). Aujourd’hui, le capital est forcément associé à un droit de propriété reconnu, individualisé et négociable. Il faut, comme le préconise Michel AGLIETTA économiste conseiller au Cepil, pouvoir le redéfinir d’une manière beaucoup plus large pour y introduire des forces productives qui ne font pas l’objet de droits de propriété privée. Il faut donc introduire dans le capital toutes les forces productives nécessaires en général et, plus particulièrement la main d’œuvre d’une entreprise qui sera notre préoccupation principale

 

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